FÊTES DE LA TOUSSAINT

FÊTES DE LA TOUSSAINT

FÊTES DE LA TOUSSAINT

De part le Nom de DIEU Plein de Clémence et Toute Plein de Miséricorde

  بِسْمِ ٱللّٰهِ ٱلرَّحْمٰنِ ٱلرَّحِيمِ  

Bismi llāhi r-Raḥmāni r-Raḥīmi
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Baudrier Gérard Ibrahim Thouars 79

FÊTE DE LA TOUSSAINT FÊTE DES MARTYRS CHRÉTIENS du 1er à fin 5è siècle début 6è siècle

šhahīd شَاهِد šhuhadā' شُهَدَاء  

dans la langue de Jésus fils de Marie ܣܵܗܹܕ sāhēd ܹ

MARTYRS   CHRÉTIENS 1er 6è siècle  du grec ancien  μάρτυς  mártus,    « témoin »

Personne   croyante au  Monothéisme      subissant  les souffrances  par, témoignage    de sa FOI. Refusant de renoncer   d’apostasier,d'abjurer , sa FOI Monothéiste.   préférant accepter  la mort «mort-supplice». En surpassant cette souffrance  se voyant alors  ouvrir  les portes du Salut. La grande majorité des premiers saints.  C’est  autour de leur  "culte des intercesseurs"  que s’est formé celui  des saints.

 UNE INNOVATION LOIN  DU FONDEMMENT ORIGINAL RELIGIEUX  MONOTHÉISTE

Le premier martyr, ou protomartyr,est saint Étienne, lapidé pour  blasphème envers les Écritures Juives par le Sanhédrin  Tribunal Assemblée  législative traditionnelle  d’Israël de Jérusalem, 

Le saint ne l’est en effet que pour les autres, et par les autres. Il n’est saint que parce qu’il est élu et reconnu par sa communauté qui n’existe désormais que par lui. Or ces personnages historiques sont construits selon des référents culturels qui peuvent varier à chaque moment et dans chaque lieu.

Les chrétiens des premiers siècles avaient les mêmes pratiques funéraires que les autres habitants de l’Empire romain. Au jour anniversaire de la mort, les membres de la famille du défunt se rassemblaient auprès de sa tombe et partageaient un repas dont une partie lui était offerte. Dès la fin du 4e siècle, ces banquets funéraires privés furent combattus par les évêques au nom d’une appropriation collective et publique des vertus des intercesseurs, le saint devenant un défunt dont l’anniversaire était commémoré par la communauté chrétienne. Il est donc évident que dans un premier temps, la naissance du culte de nouveaux saints est pour une bonne part le fruit de l’initiative des fidèles, notamment de l’aristocratie.

Aucune intervention hiérarchique n’était alors requise pour ratifier la sainteté mais les évêques n’ont pas tardé à intervenir dans les conditions matérielles puis dans la discipline du culte des saints, de sorte qu’ils en sont devenus les « imprésarios »  En 401, un décret du Concile de Carthage établit ainsi que chaque évêque était responsable dans son diocèse de la surveillance des manifestations du culte des saints, afin de combattre les déviations, mais en réalité, les évêques ne se contentaient pas de contrôler et avaient également pris l’initiative d’une diffusion positive du culte des saints. Avec la reconnaissance du christianisme dans l’Empire, il devint possible de construire des basiliques dans les cimetières, à proximité des tombes ou directement sur elles comme à Saint-Pierre du Vatican à Rome. La célébration de la messe anniversaire du décès du saint, avec un sermon, devint le rite officiel de la commémoration des saints sous le contrôle de l’évêque, garant dans son diocèse du calendrier liturgique progressivement établi, notamment sur la base des martyrologes. Le désir des fidèles de bénéficier de la protection des saints propulsa le culte des reliques au premier rang des manifestations de la vénération ; loin d’être réservé aux pagani at aux barbares mal dégrossis, le culte des reliques fut encouragé par les autorités : la fréquence des « inventions » des corps saints par le clergé à partir de la fin du 4è siècle en témoigne, avec notamment la découverte par l’évêque de Milan Ambroise, à la suite d’une vision, des corps des martyrs Protais et Gervais en 386, puis des martyrs Nazaire et Celse quelques années plus tard. Si des saints sont l’objet d’un culte à travers tout le monde chrétien, notamment les apôtres, chaque Église locale était soucieuse de posséder ses propres saints, quitte à voler des reliques, ou à inventer des légendes progressivement couchées par écrit pour rattacher ses origines aux temps apostoliques. Pour finir, l’élite du pouvoir et de la culture a également une part considérable dans la composition des textes hagiographiques – qui n’ont vraiment rien de « populaire » – exaltant les saints et leurs pouvoirs : saint Jérôme, Sulpice Sévère (Vita sancti martini), Ou l’œuvre plus tardive de Grégoire de tours (Liber in gloria confessorum et les Vitae patrum) Suffisent à le montrer.

La conséquence en fut l’accentuation du caractère régional de la sainteté et, à partir du 6è siècle, l’importance accrue de l’action des autorités ecclésiastiques locales. Les évêques, en gaule ou en Italie, se préoccupèrent de développer le culte des martyrs et surtout de leurs saints prédécesseurs : Ils firent composer leurs vies, agrandir les sanctuaires ou construire de nouvelles basiliques où ils installèrent des communautés monastiques, et tentèrent aussi de se procurer de nouvelles reliques. Dans les monastères, les abbés fondateurs et des figures charismatiques Furent célébrés pour sanctifier les origines des établissements.

Dans la mesure où le fait de décerner à un défunt le titre de saint relevait de la libre initiative des églises locales ou des établissements ecclésiastiques, le haut moyen âge fut marqué par une prolifération véritablement anarchique des cultes. Il faut attendre l’époque carolingienne pour noter une réaction contre ce relâchement et un renforcement du contrôle épiscopal, à partir de la fin du 8è siècle. Divers capitulaires de charlemagne († 814) ou de louis le pieux († 840) interdisent expressément de vénérer de nouvelles reliques sans l’accord de l’évêque, et réservent au prince ou à une assemblée de prélats le droit d’ordonner la translation des corps supposés saints. Cette cérémonie, auparavant simple transfert effectué sur l’initiative d’une communauté locale, devient une reconnaissance officielle de la sainteté d’un défunt en même temps qu’une autorisation de son culte. L’exhumation des reliques d’un saint, sous le contrôle de la hiérarchie ecclésiastique locale et en présence d’au moins un évêque, constitua désormais un acte liturgique suffisant pour garantir, au nom de l’Église, la licéité d’un culte.

Le Moyen Âge n’a pas inventé le culte des saints puisque les premières traces de leur commémoration dans l’Occident latin datent du 3è siècle. La chrétienté se caractérise dès lors par un nouveau système social et religieux, en rupture avec l’Antiquité, reposant sur un lien entre le culte des saints et la mémoire des morts. Chronologiquement, les premiers de ces « morts très spéciaux » furent les martyrs dont la persévérance dans la foi était considérée comme un titre notoire et suffisant de sainteté ; on distingua très tôt le martyr du confesseur, qui est un chrétien persécuté mais non exécuté ou simplement un saint non martyr (ascète, évêque…). Une distinction fut donc établie entre le tout venant des défunts et des morts d’élite, martyrs et confesseurs, considérés comme intercesseurs entre le Ciel et la Terre.

11 novembre 1215 Concile de Latran IV, présidé par le pontife Innocent III, marque l'apogée de la chrétienté médiévale et de la papauté après l'effort de renouveau inauguré, 150 ans plus tôt, par les réformateurs du XIe siècle (en particulier par Grégoire VII). Qui réaffirme que seul DIEU est Créateur de toute chose et que seul le prêtre peut administrer les sacrements, qui interdit la vénération des reliques nouvellement inventées sans l’autorisation du pape. L’insertion du bref Audivimus. De plus, la croisade contre les hérétiques reçoit les mêmes privilèges que celle contre les musulmans en Terre sainte.Concernant les juifs comme les musulmans, le concile décide qu'ils doivent porter sur eux une marque distinctive de leur différence (signum). L'objectif est d'instaurer ainsi le principe d'une ségrégation forcée. Quand Innocent III eut vent des violences infligées aux juifs à cause du signe distinctif qu'il leur avait imposé et les ayant conduits à une exposition dangereuse, il écrivit aux évêques de France de « laisser les juifs porter des vêtements par lesquels ils peuvent être distingués des chrétiens, mais pas de les forcer à en porter de tels qui pourraient mettre leur vie en péril »

Dans les décrétales de Grégoire IX, en 1234, met fin à la longue période de flottement et d’imprécision. Désormais, le droit canon stipule que seul le pape peut canoniser les saints, et la translation des reliques n’en est plus juridiquement que le simple prolongement liturgique.

Les critères d’appréciation de la sainteté et les procédures de sa reconnaissance officielle ont en effet traversé de profonds bouleversements dans lesquels le Moyen Âge est sans conteste la période capitale. L’idée même d’un contrôle du culte des saints par une autorité extérieure à l’Église locale a été longue à s’imposer, et le pouvoir de la papauté à reconnaître les saints est né comme une manifestation de la mise en place du centralisme pontifical au cours des 11è-13è siècles, mais il a fallu attendre jusqu’au 17è siècle pour que l’idée de la réserve pontificale en matière de sainteté devienne pleinement réalité.

Avec l'apparition de l’affaiblissement de l’autorité de la papauté et la panne de la « fabrique des saints » officiels ont pourtant entraîné une tendance au relâchement des contraintes de la discipline des cultes. Dans la mesure où clercs et laïcs ne pouvaient plus attendre grand-chose du pouvoir central de l’Église pour disposer de saints nouveaux labelisés, les 14è et 15è siècles ont été marqués par une floraison extraordinaire de cultes locaux, rendus sans autorisation pontificale à des personnages dont le profil fut extrêmement divers : de prétendus « martyrs », victimes d’injustices (tel Buonmercato de Ferrare, lynché par erreur en 1379) ou de violences de la part des juifs accusés de meurtre rituel ; des représentants du clergé, nombreux dans les ordres mendiants, mais également représentés dans le monde des séculiers, y compris lorsqu’ils avaient été excommuniés par le Saint-Siège ; des personnages obscurs, tel saint Roch, mystérieux pèlerin pestiféré du 14è siècle, guérisseur de la peste, auquel furent dédiées des centaines d’églises, de chapelles ou de confréries, alors que la papauté ne reconnut sa sainteté qu’au 17è siècle. Toutes les mystiques visionnaires, déjà évoquées, viennent encore diversifier cette « Légende dorée » bigarrée, sans parler des cultes rendus à des animaux.

les égarements de leurs contemporains qui se détournaient des cultes majeurs pour préférer une foule de dévotions mineures rendues à des personnages récents, parfois douteux, mais tout au long du Moyen Âge, le culte des saints n’en ressortit pas moins d’une culture commune. La « culture savante » et la « culture populaire » animent le culte des saints mais si la masse des fidèles attend surtout d’eux une intercession bienfaisante et des pouvoirs surnaturels, l’Église, sans les récuser, leur préfère les vertus dont ont fait preuve de leur vivant les candidats à la canonisation. Les attitudes varient donc par le choix du domaine d’appréciation et le niveau d’exigence critique, mais elles sont pour une bonne part aussi le fruit des circonstances.

Le peuple chrétien est donc resté créateur de saints mais rien ne serait plus faux que d’opposer sans nuance une tiédeur savante et ecclésiastique à une ferveur populaire dont les historiens ont longtemps dénoncé les « aberrations ». De hauts dignitaires de l’Église ont certes développé une attitude critique face au surnaturel débridé et aux formes douteuses de « fausse sainteté », mais les Églises locales n’en ont pas moins continué de tolérer des cultes sans reconnaissance officielle, en les accueillant dans les églises ou en contribuant à la diffusion littéraire des réputations de sainteté.

L'Eglise a dû défendre à plusieurs reprises la légitimité du culte des images au 8è - 9è siècles contre les iconoclastes et au 16è contre les protestants. Parmi les griefs formulés contre l'Eglise catholique, il y avait celui d'avoir falsifié les dix commandements de Dieu, qui interdisaient le culte des images. Ce problème nous concerne particulièrement compte tenu du nombre d'icônes religieuses présentes sur notre boutique en ligne. Que faut-il donc penser de cette falsification ?

Le décalogue les Dix commandemants selon le livre de l'Exode 

Ex., XX, 1 - 17 ; cf aussi Deut. V, 6 - 21) :

Je suis le Seigneur ton DIEU qui t'ai fait sortir du pays d'Egypte, de la maison de servitude :

1 - Tu n'auras pas d'autres dieux devant ma face

2 - Tu ne te feras pas d'image taillée, ni aucune figure de ce qui est dans le ciel, sur la terre, ou dans les eaux.

3 - Tu ne te prosterneras pas devant elles et tu ne les serviras pas.

4 - Tu ne prendras pas le nom du Seigneur ton DIEU en vain.

5 - Souviens-toi du jour du sabbat pour le sanctifier.

6 - Honore ton père et ta mère.

7 - Tu ne tueras pas.

8 - Tu ne seras pas adultère.

9 - Tu ne voleras pas.

10 - Tu ne porteras pas de faux témoignage contre ton prochain

11 et 12 - Tu ne convoiteras pas la maison de ton prochain ; tu ne convoiteras pas la femme de ton prochain, ni son serviteur, ni sa servante, ni son boeuf, ni son âne, ni rien de ce qui lui appartient.

Les préceptes 2 et 3 sont clairs : les images sont prohibées.

VOIR: 

Les origines du culte des saints. (deuxième article) H. Delehaye. Les origines du culte des martyrs Année 1915 pp. 203-213

https://www.persee.fr/doc/jds_0021-8103_1915_num_13_5_4378

RAPPEL HISTORIQUE

Après avoir vaincu l'empereur romain Philippe l'Arabe  probablement chrétien Trajan Dèce est proclamé empereur avec lui commence pire que Néron le martyre des apôtres  Pierre et Paul, dans les  persécutions de l'an  64  de notre ère, il est des premiers chrétien en Gaule la France actuelle  avec Blandine de Lyon, Symphorien d'Autun, Denis de Paris moururent pour leur foi. Mais aussi Saturnin de Toulouse, Foy d'Agen, Victor de Marseille, Pons de Nice, Julien de Brioude puis  la persécution  à l'encontre des chrétiens de l'Empire romain à partir de la fin de l'année 249 et au cours de l'année 250, qui refusait l'ordre le Rescrit le texte de l'autorité impériale dans l'Empire romain ayant force exécutive, de faire la  supplicatio ce rite de prosternation devant la majesté des dieux par  sacrifice aux dieux romains pour le salut de l'Empire par l'allégeance de  la pax deorum « paix des dieux » fondement de la religion romaine.

Les chrétiens dans l’adoration d’un seul DIEU ont préférés la mort et la paix en DIEU L’UNIQUE Seul à être vénéré, adoré, crains aimé plutôt que la renonciation de leur foi accepter le sacrifice  avec douleur pour un Monde de DIEU meilleurs.

RETOUR 4 Siècles en arrière

Dans une époque ou les chrétiens étaient persécuté en France les premiers martyr comptèrent parfois parmi les saints les plus honorés au Moyen Âge. Culte

Dès l’an 250, Cyprien Berbère converti au christianisme, évêque de Carthage Tunisie actuelle veillait à ce qu’on notât avec soin le jour de la mort des confesseurs de la foi, afin qu’on puisse joindre leur mémoire à celle des martyrs.

 

Voici son propos : « Comme vous vous en souvenez, nous offrons toujours pour eux le sacrifice de la messe, chaque fois que nous célébrons les passions et les jours des martyrs dans les fêtes de l'anniversaire » (S). La cérémonie comprenait vigile et office de jour, chant de psaumes, lecture des Livres Saints, sermon de l'évêque sur les circonstances du martyre.

Cyprien sera mort en martyr le 14 septembre 258 sous la persécution de Valérien empereur romain de 253 à 260.  il organisera la seconde persécution générale contre les chrétiens (257-259) cet empereur capturé par Chapour Ier, rois de l'Empire Perse sassanide Iran actuelle mourra en captivité certaines sources  disent que se fut un châtiment divin et humiliant: Valérien est obligé de servir de marchepied, avec son corps, pour Chapour montant à cheval, et après sa mort Chapour l'aurait fait écorcher, puis aurait fait tanner et teindre en rouge sa peau pour en habiller un mannequin exposé dans un grand temple perse en symbole de la honte de Rome

Au milieu du 4ème siècle, apparaissent les premiers calendriers et martyrologes, le calendrier donnant la liste des saints fêtés dans une Eglise au long de l’année avec le lieu et le jour de la célébration (Calendrier romain de 354), tandis que le martyrologe recueille pour chaque jour la liste des saints dont on célèbre le natale en diverses régions (Martyrologe de Nicomédie de 361).

S’en suivra dans ce culte des saints celui des reliques dès 325 à Jérusalem et vers 385 en Occident avec l'évêque de Milan Ambroise qui retrouve les corps des martyrs Gervais et Protais Milan en Italie actuelle.

Héritier des martyrologes du haut moyen âge et de l’époque carolingienne,

 

IL NE FAUT PAS OUBLIER CES MARTYRS DE LA PENINSULE ARABIQUE

Dans cette région sud de la Péninsue Arabique il existait la célèbre Ka’ba de Najran  dit aussi le monastère de Najran nommée dans al Kalbi  dans son Livre des Idoles était une Ville chrétienne dirigé par des evêques l’un qui s’appelait Azqir décapité vers 470/475 qui et l’autre Paul1er lapidé vers 490-500.

Vers 523 Najran
Le gouverneur Aq’ib ou roi sabéen entre 170 et 200 de notre ère construit un bassin  qui servira 3 siècle plus tard Vers 520/523,à يوسف أسار يثأر Yūsuf Asar Yathar dont le surnon est יוסף ד'ו נואס Yosef Du Nu'es  يوسف ذي نواس Yūsuf Dhū Nuwas , roi juif arabe au pouvoir dans le royaume d'Himyar. (yemen actuel) converti au judaïsme, qui est persecutera et tuera Les Gens du Livre اهل الكتاب Ahl al-kitâb les chrétiens  de l'oasis de Najran 5000 tués 12000 captifs: Les Gens d’al Ukkud أَصْحَٰبُ ٱلْأُخْدُودِ  'Aşĥābu Al-'Ukhdūdi  dont ces versets du chapitre 85 ٱلْبُرُوْج al Burudj les Constellations verset 1 à 11 rappele aussi les premiers martyrs de l’obéissance dans l’obédience  ٱلْإِسْلَـٰم al Islam

chapitre/Sourate 85 ٱلْبُرُوْج al Burudj les Constellations versets 1 à 10

1 - Par le ciel aux constellations!

وَٱلسَّمَآءِ ذَاتِ ٱلْبُرُوجِ

2 - et par le jour promis!

وَٱلْيَوْمِ ٱلْمَوْعُودِ

3 - et par le témoin et ce dont on témoigne!

  وَشَاهِدٍ وَمَشْهُودٍ

4 - Périssent les gens de l'Ukhdoud,

   قُتِلَ أَصْحَٰبُ ٱلْأُخْدُودِ

5 - par le feu plein de combustible,

  ٱلنَّارِ ذَاتِ ٱلْوَقُودِ

6 - cependant qu'ils étaient assis tout autour,

 إِذْ هُمْ عَلَيْهَا قُعُودٌ

 7 - ils étaient ainsi témoins de ce qu'ils faisaient des croyants,

 وَهُمْ عَلَىٰ مَا يَفْعَلُونَ بِٱلْمُؤْمِنِينَ شُهُودٌ

8 - à qui ils ne leur reprochaient que d'avoir cru en DIEU, le Puissant, le Digne de louange,

  وَمَا نَقَمُوا۟ مِنْهُمْ إِلَّآ أَن يُؤْمِنُوا۟ بِٱللَّهِ ٱلْعَزِيزِ ٱلْحَمِيدِ

9 - Auquel appartient la royauté des cieux et de la terre. DIEU est témoin de toute chose

. ٱلَّذِى لَهُۥ مُلْكُ ٱلسَّمَٰوَٰتِ وَٱلْأَرْضِ وَٱللَّهُ عَلَىٰ كُلِّ شَىْءٍ شَهِيدٌ

10 - Ceux qui font subir des épreuves aux croyants et aux croyantes, puis ne se repentent pas, auront le châtiment de l'Enfer et le supplice du feu.

إِنَّ ٱلَّذِينَ فَتَنُوا۟ ٱلْمُؤْمِنِينَ وَٱلْمُؤْمِنَٰتِ ثُمَّ لَمْ يَتُوبُوا۟ فَلَهُمْ عَذَابُ جَهَنَّمَ وَلَهُمْ عَذَابُ ٱلْحَرِيقِ

Je vous invite  relire le verset 19 du chapitre /sourate 30 ar Rum/les Byzantins
Du mort, Il fait sortir le vivant, et du vivant, Il fait sortir le mort. Et Il redonne la vie à la terre après sa mort. Et c'est ainsi que l'on vous fera sortir (à la résurrection).

يُخْرِجُ ٱلْحَىَّ مِنَ ٱلْمَيِّتِ وَيُخْرِجُ ٱلْمَيِّتَ مِنَ ٱلْحَىِّ وَيُحْىِ ٱلْأَرْضَ بَعْدَ مَوْتِهَا وَكَذَٰلِكَ تُخْرَجُونَ
 

Yukhriju Al-Ĥayya Mina Al-Mayyiti Wa Yukhriju Al-Mayyita Mina Al-Ĥayyi Wa Yuĥyī Al-'Arđa  Ba`da Mawtihā Wa Kadhalika Tukhrajūna
 

On pourrait y revoir la lecture de l’Histoire des Gens de la Caverne  ٱلرَّقِيمِ  d'ar-Raquim les 7 dormants

chapitre/Sourate  18 ٱلْكَهْف  al Kahf la Caverne versets 9- 18-19

9 - Penses-tu que les gens de la Caverne et d'ar-Raquim ont constitué une chose extraordinaire d'entre Nos prodiges?

أَمْ حَسِبْتَ أَنَّ أَصْحَٰبَ ٱلْكَهْفِ وَٱلرَّقِيمِ كَانُوا۟ مِنْ ءَايَٰتِنَا عَجَبًا

18 - Et tu les aurais cru éveillés, alors qu'ils dorment. Et Nous les tournons sur le côté droit et sur le côté gauche, tandis que leur chien est à l'entrée, pattes étendues. Si tu les avais aperçus, certes tu leur aurais tourné le dos en fuyant; et tu aurais été assurément rempli d'effroi devant eux.

وَتَحْسَبُهُمْ أَيْقَاظًا وَهُمْ رُقُودٌ وَنُقَلِّبُهُمْ ذَاتَ ٱلْيَمِينِ وَذَاتَ ٱلشِّمَالِ وَكَلْبُهُم بَٰسِطٌ ذِرَاعَيْهِ بِٱلْوَصِيدِ لَوِ ٱطَّلَعْتَ عَلَيْهِمْ لَوَلَّيْتَ مِنْهُمْ فِرَارًا وَلَمُلِئْتَ مِنْهُمْ رُعْبًا

19 - Et c'est ainsi que Nous les ressuscitâmes, afin qu'ils s'interrogent entre eux. L'un parmi eux dit: "Combien de temps avez-vous demeuré là?" Ils dirent: "Nous avons demeuré un jour ou une partie d'un jour". D'autres dirent: "Votre Seigneur sait mieux combien [de temps] vous y avez demeuré. Envoyez donc l'un de vous à la ville avec votre argent que voici, pour qu'il voit quel aliment est le plus pur et qu'il vous apporte de quoi vous nourrir. Qu'il agisse avec tact; et qu'il ne donne l'éveil à personne sur vous.

 

وَكَذَٰلِكَ بَعَثْنَٰهُمْ لِيَتَسَآءَلُوا۟ بَيْنَهُمْ قَالَ قَآئِلٌ مِّنْهُمْ كَمْ لَبِثْتُمْ قَالُوا۟ لَبِثْنَا يَوْمًا أَوْ بَعْضَ يَوْمٍ قَالُوا۟ رَبُّكُمْ أَعْلَمُ بِمَا لَبِثْتُمْ فَٱبْعَثُوٓا۟ أَحَدَكُم بِوَرِقِكُمْ هَٰذِهِۦٓ إِلَى ٱلْمَدِينَةِ فَلْيَنظُرْ أَيُّهَآ أَزْكَىٰ طَعَامًا فَلْيَأْتِكُم بِرِزْقٍ مِّنْهُ وَلْيَتَلَطَّفْ وَلَا يُشْعِرَنَّ بِكُمْ أَحَدًا

 

Mais aussi l’année 614, les idolâtres de Quraysh persécutent les Obéissant dans l'Obédience مُسْلِمُون‎ muslimūn au féminin feminine مُسْلِمَة‎ muslima "musulmans" de bas rang social comme  سمية بنت خياط Sumayyah bint Khayyat, l'épouse de  ياسر بن عامر العنسي Yasir ibn Amir al-'Ansī , est morte pendant sa torture. Elle est ainsi devenue le premier martyr de l'Obéissance dans l'Obédience  ٱلْإِسْلَـٰم al-'Islam. Un peu plus tard, son mari, Yasir ibn Amir al-'Ansī  qui était un immigré yéménite, a également été torturé à mort, et il est devenu le second martyr de l'Islam.vers. victimes de la persécution des idolâtres de La Mecque

 Boniface IV, moine bénédictin né dans la région de Marsica, dans les Abruzzes, pape de 608 à 615. fixera le 13 mai 610   la mémoire de tous les martyrs chrétiens  que fut aussi une institutions des reliques  et fit transporter de nombreux corps de martyrs des catacombes pour en faire office de dévotion

En 830  la date de cet évènement sera fixée en 1er novembre

835 le pape  Grégoire IV  ordonne que cette fête soit célébrée dans toute la chrétienté, surle conseil de ce pape l'empereur, Louis le Pieux institua la fête de tous les saints sur tout le territoire de l’empire carolingien afin de remplacer les célébration païennes de la religion des Celtes et mettre fin aux festivités druidiques et particulièrement celle du Samain de fête des Esprits-souffles   la première des quatre grandes fêtes religieuses de l’année gaélique qui annoncent le passage d’une année à l'autre — et d’ouverture vers l’Autre Monde, celui des dieux et des mânes, représentant les âmes d'êtres décédés.

vers 835 la secte des pauliciens, religion d'origine chrétienne orientale, probablement arménienne, aujourd'hui disparue rejettent le clergé, la croix, les saints, l'eucharistie qui refuse l’image, le statut de Marie  ainsi que toute hiérarchie au sein de l’Église, et qui est persécutée dans l'Empire byzantin

En 998, les moines de Cluny instituèrent une fête des trépassés le 2 novembre, qui entra dans la liturgie romaine comme commémoration de tous les fidèles défunts au 13è siècle. Le culte des morts resta cependant massivement célébré au 1er novembre.

Le Martyrologe officiel de l’Eglise romaine date de 1584.

Depuis lors, trois cents saints oui groupes de saints y ont été inscrits

A ce jour nous en sommes à la fête de halloween très très loin de non initiative prévue

Comme quoi le culte des saints est très éloigné comme la foi religieuse de certains

Puisse DIEU le Très Haut nous parfonner de nos erreurs et de nos ommisions

Baudrier Gérard Ibrahim

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