La Barbe Histoire Humaine

 

 

La Barbe Histoire Humaine

peut être pas si que : سنة,Sunnah Loi- Tradition musulmane que cela!

La Barbe Histoire Humaine

sourate 20  طه Ṭa Ha verset 94

 [Aaron] dit: "Ô fils de ma mère, ne me prends ni par la barbe* ni par la tête. Je craignais que tu ne dises: "Tu as divisé **les enfants (fils) d'Israël et tu n'as pas observé ma parole (mes ordres)".

قَالَ يَبْنَؤُمَّ لَا تَأْخُذْ بِلِحْيَتِى وَلَا بِرَأْسِىٓ إِنِّى خَشِيتُ أَن تَقُولَ فَرَّقْتَ بَيْنَ بَنِىٓ إِسْرَٰٓءِيلَ وَلَمْ تَرْقُبْ قَوْلِى

Qala yaBna'ouma la ta'ķhouđ  biliĥyati wala bira'çi îni ķachiytou an ķhachiytou  faraqta bayna Bani  Îçra'iyla walam  tarqoub qawli.

*Barbe لِحْيَة liḥya

Voir Bible Exode chapitre 32 au verset 21 Question  de Moïse à Aaron »

Moïse dit à Aaron: Que t'a fait ce peuple, pour que tu l'aies laissé commettre un si grand péché? » ^{(culte du Veau d'Or)}

וַיֹּאמֶר מֹשֶׁה אֶל־אַהֲרֹן מֶה־עָשָׂה לְךָ הָעָם הַזֶּה כִּי־הֵבֵאתָ עָלָיו חֲטָאָה גְדֹלָה

 vayyomèr Moshèh èl-Aharon mèh-'asah lekha ha'am hazzèh kiy-hévétha 'alayv h'ataah gedolah

La barbe symbole de masculinité et de virilité, Elle ajoute un certain prestige à l’homme qui observe les consignes données par le derniers des Prophètes Messagers et Avertisseurs de Dieu l’Unique exhortant les croyants à laisser croître la barbe et à ne la tailler que lorsqu’elle les ‘empêche de boire du petit lait » Mais l’opinion des فقهاء Fuqahâ'*** est partagée à ce sujet, une hygiène correcte de la barbe ne pouvant être scrupuleuse que lorsque celle-ci est bien entretenue. Aussi, il est recommandé concernant  la taille de la barbe : elle ne doit pas dépasser la largeur d'une main, à partir du menton, c'est-à-dire de la تولیا tôlia/toliya à hauteur de la base du cou sans quoi elle cesse d’être un ornement. D’autant que la taille de la barbe fait partie des cinq Ablations traditionnelles reconnues : la taille de la moustache****, le coupage des ongles, l'épilation des poils du pubis et des aisselles, la circoncision masculine.

*** au singulier فقيه faqīh spécialiste de la jurisprudence musulmane فقهf iqh « sens - comprendre » l'interprétation temporelle de la الشَّرِيعَة šharīʿa, les normes, règles doctrinales, sociales, cultuelles et relationnelles édictées par la Révélation Divine.

**** moustache شَارِب šārib  à ne pas confondre avec boire  شَارِب šhārib

Dans la foi religieuse musulmane les propos du dernier des Prophètes Messagers et Avertisseurs مُحَمَّد Muhammad sur lui le salut et la paix de Dieu صلّى الله عليه وسلّم salla Allah εalayh wa-salam

D'après 'Abdallah Ibn 'Omar (que Dieu les agrée lui et son père), le Prophète (que la prière de Dieu et Son salut soient sur lui) a dit: « Différenciez vous des associateurs : laissez pousser la barbe et taillez vos moustaches ».
(Rapporté par Boukhari dans son Sahih n°5892 et Mouslim dans son Sahih n°259)
 

عن عبدالله بن عمر رضي الله عنهما قال النّبي صلّى الله عليه وسلّم : خالفوا المشركين : وفّروا اللّحى وأحفوا الشّوارب
(رواه البخاري في صحيحه رقم ٥٨٩٢ و مسلم في صحيحه رقم ٢٥٩)

εan 'Abdallah Ibn 'Omar radi Allah εanhuma qal alNaby salla Allah εalayh wa-salam : khalafou al moushrikin : wa farou allalha wa'ahafou alshawarb ‎
 

Il n’y a pas une longeur souhaitée ou limitée  pour une barbe, à cause de l’inexistence d’un hadith du Prophète (bénédiction et salut soient sur lui) en ce sens. Ce qui a été rapporté, c’est de la laisser pousser naturellement.

Mouslim a rapporté de Djabir Ibn Soumrata (P.A.a) que:  Le Prophète (bénédiction et salut soient sur lui ) avait une longue barbe. (Mouslim,2344)

Selon an-Nissaï (5232) d’après Al Boura:  Il avait une barbe dense. Dans une autre version:  Une barbe dense, une grande barbe. (Nissaï, 5232)

Certains des ulémas ont autorisé d’enlever de la barbe ce dépasse la prise d’une main, comme Omar l’avait fait. Mais, la grande majorité des ulémas désapprouvent cela, ce qui plus évident en raison de ce qui précèd.

An-Nawawi dit:  Il est préférable de laisser la barbe pousser naturellement, de n’y rien couper. (Voir Tuhfat al –Ahwazi, 8/39).

Quant au hadith:  Il (le Prophète) diminuait (sa barbe) dans le sens de la longueur et dans celui de la  largeur., c’est un hadith inventé , un mensonge (Voir al-Illal al- moutanâhiya) d’Ibn Djawzi, (2/686).

Sourate 33 الأحزاب al-Aḥzāb les Factions verset 21.

En effet, vous avez dans le Messager de Dieu un excellent modèle [à suivre], pour quiconque espère en Dieu et au Jour dernier et invoque Dieu fréquemment.

لَّقَدْ كَانَ لَكُمْ فِى رَسُولِ ٱللَّهِ أُسْوَةٌ حَسَنَةٌ لِّمَن كَانَ يَرْجُوا۟ ٱللَّهَ وَٱلْيَوْمَ ٱلْءَاخِرَ وَذَكَرَ ٱللَّهَ كَثِيرًا

Laqad kana lakoum fi Raçouli Allahi  ouçwatoun ouçwatoun liman kana yarjou Allaha wâlyawma al'aķhira wađakara Allaha kathiyran

Sourrate 59  الحشر al-Ḥašr le Rassemblement verset 7.

……….Prenez ce que vous a manifesté le Messager vous donne; et ce qu'il vous interdit, absentez-vous en; et craignez Dieu car Dieu est dur en punition.

وَمَآ ءَاتَىٰكُمُ ٱلرَّسُولُ فَخُذُوهُ وَمَا نَهَىٰكُمْ عَنْهُ فَٱنتَهُوا۟ وَٱتَّقُوا۟ ٱللَّهَ إِنَّ ٱللَّهَ شَدِيدُ ٱلْعِقَابِ…………

Wama atakoumou alRaçoulou  faķouđouhou wama  nahakoum  Ɛanhou  Ɛanhou wâtaqou Allaha  îna Allaha chadiydou alƐiqabi

Cheikh Ibn Outhaymine (puisse Dieu le préserver) a dit: « La limite d’une barbe, d’après les linguistes, est les cheveux du visage, les deux machoires et les deux joues. C’est-à-dire, tout ce qui est entre les joues, les machoires, et le menton constitue la barbe qu’il est interdit de raser, parce que cela est un péché.  Le Prophète (bénédiction et salut soient sur lui ) a dit:  Cultivez la barbe : laissez la pousser en abondance.

En Espagne musulmane الأندلس Al-Andalus, des 10è 11è siècles tous les hommes, de quelque religion qu'ils soient, portent la barbe.

Est-ce Uniquement une Tradition Prophétique musulmane ?

En fait qu’en est-il depuis l’Histoire de l’Humanité ?

LA PRÉHISTOIRE DE LA BARBE

Dès la préhistoire, les poils protègent la peau des climats extrêmes, des parasites et de la poussière. En augmentant le volume de la mâchoire, la barbe pouvait également permettre de faire peur à l’ennemi en cas d’affrontement ou pendant la chasse. Cependant, la découverte de silex finement taillés témoigne que la tendance était plutôt au rasage ! Et oui, n’allez pas croire qu’Homo sapiens se laissait aller ! En effet, dans la grotte de Marche ( à Lussac-les-Châteaux dans département de la Vienne), époque magdalénienne. des peintures datées de 14 500 ans montrent des profils d’hommes avec barbe ou  rasés, sans moustache ni barbe! Pour éviter les poux et les parasites, ils se coupaient même les cheveux régulièrement.

La barbe occupe une place importante dans la Bible juive תַּנַ״ךְ‎ Tanakh.

Couper la barbe d’un autre homme était considéré comme une offense

2 Samuel chapitre 10, verset 4

Alors Hanun saisit les serviteurs de David, leur fit raser la moitié de la barbe, et fit couper leurs habits par le milieu jusqu'au haut des cuisses. Puis il les congédia.

וַיִּקַּח חָנוּן אֶת־עַבְדֵי דָוִד וַיְגַלַּח אֶת־חֲצִי זְקָנָם וַיִּכְרֹת אֶת־מַדְוֵיהֶם בַּחֵצִי עַד שְׁתוֹתֵיהֶם וַיְשַׁלְּחֵם

vayyiqqah' h'anoun èth-'avedéy david vayegallah' èth-h'atsiy zeqanam vayyikheroth èth-madevéyhèm bah'étsiy 'ad shethothéyhèm vayeshalleh'ém

Se raser ou s’arracher la barbe était un signe de deuil

Jérémie chapitre 41, verset5 :

il arriva de Sichem, de Silo et de Samarie, quatre-vingts hommes, qui avaient la barbe rasée et les vêtements déchirés, et qui s'étaient fait des incisions; ils portaient des offrandes et de l'encens, pour les présenter à la maison de l'Eternel.

וַיָּבֹאוּ אֲנָשִׁים מִשְּׁכֶם מִשִּׁלוֹ וּמִשֹּׁמְרוֹן שְׁמֹנִים אִישׁ מְגֻלְּחֵי זָקָן וּקְרֻעֵי בְגָדִים וּמִתְגֹּדְדִים וּמִנְחָה וּלְבוֹנָה בְּיָדָם לְהָבִיא בֵּית יְהוָה

vayyavoou anashiym mishekhèm mishilo oumishomeron shemoniym iysh megoulleh'éy zaqan ouqerou'éy vegadiym oumitheggodediym oumineh'ah oulevonah beyadam lehaviy béyth Yahvé

Jérémie chapitre 48, verset 37 :

Car toutes les têtes sont rasées, Toutes les barbes sont coupées; Sur toutes les mains il y a des incisions, Et sur les reins des sacs

כִּי כָל־רֹאשׁ קָרְחָה וְכָל־זָקָן גְּרֻעָה עַל כָּל־יָדַיִם גְּדֻדֹת וְעַל־מָתְנַיִם שָׂק

kiy khal-rosh qareh'ah vekhal-zaqan ggerou'ah 'al kol-yadayim ggedoudoth ve'al-mathenayim saq

Permettre que sa propre barbe soit profanée faisait penser aux autres que l’on était fou.

1 Samuel chapitre 21, verset13.

 Il se montra comme fou à leurs yeux, et fit devant eux des extravagances; il faisait des marques sur les battants des portes, et il laissait couler sa salive sur sa barbe.

וַיָּשֶׂם דָּוִד אֶת־הַדְּבָרִים הָאֵלֶּה בִּלְבָבוֹ וַיִּרָא מְאֹד מִפְּנֵי אָכִישׁ מֶלֶךְ־גַּת

vayyasèm ddavid èth-haddevariym haéllèh bilevavo vayyira meod mipenéy akhiysh mèlèkhe-ggath

Lévitique ויקרא Vayikra, "et Il appela" Chapitre 194.verset 8.

Le septième jour, il rasera tout son poil, sa tête, sa barbe, ses sourcils, il rasera tout son poil; il lavera ses vêtements, et baignera son corps dans l'eau, et il sera pur.

וְהָיָה בַיּוֹם הַשְּׁבִיעִי יְגַלַּח אֶת־כָּל־שְׂעָרוֹ אֶת־רֹאשׁוֹ וְאֶת־זְקָנוֹ וְאֵת גַּבֹּת עֵינָיו וְאֶת־כָּל־שְׂעָרוֹ יְגַלֵּחַ וְכִבֶּס אֶת־בְּגָדָיו וְרָחַץ אֶת־בְּשָׂרוֹ בַּמַּיִם וְטָהֵר

vehayah vayyom hasheviy'iy yegallah' èth-kol-se'aro èth-rosho veèth-zeqano veéth ggaboth 'éynayv veèth-kol-se'aro yegalléah' vekhibèss èth-begadayv verah'ats èth-besaro bammayim vetahér

 Le port de la barbe dans le judaïsme est un sujet discuté et la Kabbale indique que les raisons en sont cachées. Le Sepher ha-Zohar ספר הזוהר Livre de la Splendeur), aussi appelé  זֹהַר le Zohar évoque « la barbe mythique de la plus élevée des dix ספירות sefirot de la divinité dont les longues mèches sont censées non seulement représenter mais aussi contenir les Treize facettes de la Miséricorde divine ». La barbe serait signe de sagesse et de respect car elle symboliserait et permettrait le passage de l'esprit au cœur, de la pensée à l'action, de la théorie à la pratique. Aussi, pour distinguer l'homme de la femme ou l'Hébreu du polythéiste.

Le livre du Lévitique ויקרא Vayikra, "et Il appela" Chapitre 19.verset  27 interdit-il de raser sa barbe :

« Vous ne couperez point en rond les coins de votre chevelure, et tu ne raseras point les coins de ta barbe »

לֹא תַקִּפוּ פְּאַת רֹאשְׁכֶם וְלֹא תַשְׁחִית אֵת פְּאַת זְקָנֶךָ

 Lo thaqqiphou peath roshekhèm velo thasheh'iyth éth peath zeqanèkha

L’HISTOIRE DE LA BARBE PENDANT L’ÉGYPTE ANTIQUE

À l’époque de l’Égypte antique, la barbe était réservée aux personnages de haut rang et teintée au henné. Par la suite, elle devint un attribut divin, symbole de pouvoir et de souveraineté. Dans les temples ou les édifices sacrés, le pharaon était souvent représenté avec une barbe postiche pour le différencier du commun des mortels. Elle témoigne de sa descendance divine puisque ce type de barbe était couramment utilisé pour représenter les dieux. D’apparence courbe, elle se démarque de celle du pharaon qui est droite.

LA BARBE À L’ÉPOQUE DE LA GRÈCE ANTIQUE

Pendant la période de la Grèce antique, la barbe a été associée à de nombreux symboles. À Sparte, chez les militaires, elle était synonyme de virilité et de courage. À Athènes, elle était l’attribut des philosophes, preuve de sagesse et d’expérience. Plus tard, Épicure Ἐπίκουρος / Epíkouros) philosophe grec, né  vers - 341 mort vers - 270  avant notre ère et ses disciples présentent une barbe soignée et disciplinée, qui traduit une position sociale élevée dans la société.

L’amour de la barbe est tel que certains personnages célèbres, comme Épictète vers 50 à 130 de notre ère, iront jusqu’à dire qu’ils préfèrent la décapitation plutôt que de se raser. Ils défient ainsi l’empereur Domitien vers 51 à 96 de notre ère  qui souhaitait l’exil des philosophes. Pour ce dernier, la barbe ne suffit pas à justifier de la connaissance et de la sagesse d’un homme. C’est un attribut lié au sexe qui permet de les différencier des femmes. Enfin, stratège de renom, Alexandre le Grand -356 à -323 avant notre ère ordonnait à ses soldats de se tailler la barbe pour ne pas offrir une prise.

L’HISTOIRE DE LA BARBE CHEZ LES ROMAINS

Les Romains, soucieux de l’hygiène et du soin de soi, associaient la barbe à la saleté et à la pauvreté. Après le Ier siècle de l’Empire, elle refait peu à peu son apparition. Influencés par les tendances de la Grèce antique, les Romains portent de nouveau la barbe. Symbole de sagesse et d’expérience, elle est d’abord adoptée par les hommes de plus de 40 ans et se démocratise ensuite chez l’ensemble des classes d’âges. À l’époque, elle traduit une culture très développée et un savoir-faire étendu. Progressivement, elle se développe chez les Romains issus d’une classe aisée, puis chez les Empereurs.

Dès le début du 4è siècle, la barbe est de nouveau discréditée sous le règne de Constantin Flavius Valerius Aurelius Constantinus né vers 272 mott en 337 de notre ère . À Antioche dans L’empire Byzantin, en Turquie actuelle, l’Empereur Julien II Flavius Claudius Julianus (331 ou 332 au 26 juin 363) (Neveu de Constantin1er), nommé  également appelé Julien le Philosophe  est moqué par son peuple pour son style. En 363, il publie un texte spirituel intitulé « L’ennemi de la barbe » à travers lequel il justifie son choix et explique les raisons qui le poussent à porter la barbe. 

LA BARBE SOUS L’EMPIRE BYZANTIN

Dès le 4ᵉ siècle, l’Empire byzantin s’étend sur toute la partie est de la région méditerranéenne. Le port de la barbe se développe grâce à l’apparition de l’iconoclasme. À l’époque, les personnes rattachées à la religion sont encouragées à porter la barbe. La diffusion d’images religieuses favorise la propagation de cette tendance qui revient progressivement dans les mœurs.

Pour se démarquer,

Vers la fin du 5e siècle, le pape ordonne alors aux moines et aux prêtres une règle précise est édictée à ce sujet, précisant qu'« aucun prêtre ne doit se laisser pousser les cheveux ou se raser la barbe de se raser et de tonsurer!». Assez peu dans l'air du temps, cette règle aurait tout simplement été transformée par certains copistes en : « Aucun prêtre ne doit se laisser pousser les cheveux ou la barbe »,

 Au 9 è siècle, 4è concile d'Aix-la-Chapelle en 816 sur la discipline ecclésiastique : règles pour les chanoines et pour les chanoinesses (règle d'Aix) recommande aux moines de se raser 24 fois par an, soit tous les 15 jours. Différents ordres se seraient alors conformés à cette règle, ou à d'autres similaires, ce qui permit notamment aux ermites (qui, en tant que moines vivant seuls, n'y étaient par définition pas soumis) de se faire rapidement remarquer pour leurs barbes luxuriantes. Cela sans douta aussi au et 5e concile d'Aix-la-Chapelle en 817 sur la discipline ecclésiastique : règles pour les moines sur la discipline ecclésiastique.

Au 11è siècle

« La barbe particulièrement au sein du clergé  fut jadis une affaire aussi sérieuse que symbolique. Elle distingua l'Orient de l'Occident durant le Grand Schisme de 1054, puis les prêtres des laïcs au Moyen-Âge, et les protestants des catholiques lors de la Réforme. Certains chefs religieux l'exigèrent, d'autres la bannirent. Pour les théologiens médiévaux, elle a représenté aussi bien la sainteté que le péché. » Cela  jusqu'au 12è et 13è siècles.

 

La religion de l'Inde chez les brahmanes ब्राह्मण brāhmaṇa « lié au sacré » membres d'une des quatre castes (varṇa) définies par l'hindouisme la barbe est symbole de sacré et de pénitence.

Signe de distinction  

Dans toute les religions de nos jours nous voyons la barbe et même chez ceux qui ne croient pas !

Quand l’humain aiment porte la barbe religion ou pas !

Sourate 18 الكهف al-Kahf la Caverne verset 29 

Et dis: ^(proclame)  "La vérité émane de votre Seigneur". Quiconque le veut, qu'il croit, et quiconque le veut qu'il mécroie". Nous avons préparé pour les injustes un Feu dont les flammes les cernent. Et s'ils implorent à boire on les abreuvera d'une eau comme du métal fondu brûlant les visages. Quelle mauvaise boisson et quelle détestable demeure!

وَقُلِ ٱلْحَقُّ مِن رَّبِّكُمْ فَمَن شَآءَ فَلْيُؤْمِن وَمَن شَآءَ فَلْيَكْفُرْ إِنَّآ أَعْتَدْنَا لِلظَّٰلِمِينَ نَارًا أَحَاطَ بِهِمْ سُرَادِقُهَا وَإِن يَسْتَغِيثُوا۟ يُغَاثُوا۟ بِمَآءٍ كَٱلْمُهْلِ يَشْوِى ٱلْوُجُوهَ بِئْسَ ٱلشَّرَابُ وَسَآءَتْ مُرْتَفَقًا

waqouli alĥaqou mon Rabikoum faman  cha'a  falyou'min waman cha'a falyakfour îna aƐtadna lilŽalimiyna naran aĥaŤa bihim çouradiqouha wa'ôn yaçtağiythou youğathou bima'in kâlmouhli yachwi alwoujouha bi'ça alcharabou waça'at mourtafaqan

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